Noël à Veyrines de Vergt organiser par l' association "Culture Loisirs et Festivités "dirigé par Mr Daniel LONGO
Pour la 5 ième année l'Association de Veyrines de Vergt c'est réunie pour l'organisation du sapin de Noël des enfants avec distribution de cadeaux par le Père de Noël assister d'un superbe lutin !
Un spectacle de clown à ouvert les festivités pour le régal des enfants, puis après la remise des cadeaux par le Père Noêl un goûter avait été préparer par l'association que je félicite vivement de leurs travail !
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Monsieur le Maire était présent et content d'avoir reçu un superbe cadeau de Monsieur le clown !!!
L'arrivé du Père Noël pour le plus grand plaisir des enfants
Et la nuit venue les étoiles se mirent à brillées dans la commune !
Téléthon
Une association de voitures anciennes c'était déplacé spécialement pour une démonstration et dans la foulée récolter des fonds pour le Téléthon chèque qu'ils ont reçu de la part de l'Association de Veyrines de Vergt.
Des personnes bien sympathiques avec un grand coeur à la veille des fêtes de Noël !
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Nous avions également des sympathiques motards !
Fête de la citrouille à St Mayme de Pereyrol
L'évènement de l'année à Saint Mayme !
Pour la 23 ème Foire à la Citrouille, l'entrée était gratuite et des jeux anciens étaient mis gratuitement à disposition des jeunes visiteurs.
Des calèches assuraient gratuitement la jonction Parking- Foire.
Le berger et ses oies sillonnaient la Foire, un groupe folklorique nous divertisaient tandis que les pressoirs à pommes et le four à pains ravivaient les senteurs d'autrefois.
Les anciens métiers, vannerie, fabrication de balais de paille, ferronnerie nous ont enchantés.
Tous les St Maymois ont préparé l'évènement pour que cette 23ème Foire soit des plus festive.
à revoir absolument !!!
Un délice pour les yeux et les papillent.
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Fête du terroir au Bugue
Sarlat-la-Canéda
Sarlat-la-Canéda, communément appelée Sarlat, est une commune du Sud-Ouest de la France. Sous-préfecture et bureau centralisateur de canton du département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine, elle compte 9 127 habitants en 2016 et est au centre d'une aire urbaine de 19 651 habitants. Ses habitants sont appelés les Sarladais(es).
Capitale du Périgord noir, aux confins des causses du Quercy, cette cité historique est un site touristique majeur, renommé pour sa parure monumentale datant essentiellement de la période médiévale et du début de la Renaissance (du xiiie au xvie siècle). Son centre-ville, d'une grande homogénéité, est ainsi composé d'un lacis de ruelles et de venelles pittoresques, de placettes ombragées, bordées d'hôtels particuliers aux toits de lauze, dont les plus célèbres sont la maison de La Boétie, l'hôtel du Barry, l'hôtel de Savignac ou encore le présidial. Centre névralgique de la ville, la place de la Liberté, bordée de terrasses, est le siège du marché, où se vendent les spécialités de la région : foie gras, truffes, figues et noix. Dans son prolongement, s'ouvrent en perspective la cathédrale Saint-Sacerdos et le palais des évêques, qui rappellent que Sarlat a été cité épiscopale pendant plusieurs siècles.
Possédant un ensemble urbain médiéval parmi les plus importants du monde, Sarlat a été la première ville à bénéficier de la loi Malraux, en 1964. Cette petite cité périgordine, visitée par plusieurs centaines de milliers de touristes chaque année, sert également ponctuellement de cadre à des films historiques.
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Au fil de Sarlat nous découvrons cette ville magique qui nous transportent dans un autre univers.
à visiter pour tout les internautes qui ne connaissent pas et qui viennent sur la dordogne venez visiter cette ville.
L'origine de Sarlat, une abbaye[]
L'origine de l'abbaye se perd dans les légendes. Jean Maubourguet a admis qu'elle a été créée dans la première moitié du IXe siècle par Pépin3, roi d'Aquitaine de 817 à 832 puis de 834 à 838. Elle est contemporaine de l'abbaye de Paunat et de l'abbaye de Terrasson.
L'abbaye fait partie des six grandes abbayes du Périgord (avec Paunat, Belvès, Saint-Front de Périgueux, Brantôme et Terrasson). Elle est la seule à avoir été épargnée par les Vikings car située à l'écart de la Dordogneet de ses affluents.
D'après une charte de l'abbaye de Sarlat dont l'original a été perdu, en 886, Charles le Gros, empereur des Romains, roi de France, fait réparer l'église abbatiale édifiée en l'honneur du Sauveur du Monde, située dans le vicus de Sarlat, et la prend sous sa protection4.
Le chartrier de l'abbaye contient aussi une charte de Bernard, comte de Périgord, donnant l'abbaye Saint-Sauveur de Sarlat à Odon, abbé de Cluny, et à Adacius, son co-abbé, pour qu'ils y rétablissent la discipline monastique5. La charte cite Ludovico imperante qui ne peut être que Louis IV d'Outremer, rappelé d'Angleterre pour régner en Francie occidentale en juillet 936. Odon de Cluny est mort en 942. On peut en déduire que cette charte a été rédigée entre 937 et 942. Adacius a été abbé du monastère de Sarlat6, de celui de Tulle et de Saint-Sour de Genouilliac, et vivait encore en 947. Cette charte a été considérée comme un faux car l'abbaye n'a jamais dépendu de l'abbaye de Cluny. Les deux premiers actes connus datent de 954 et 1094.
Le pape Léon VII aurait donné un bref de privilège prononçant anathème contre toute personne qui oserait s'arroger la possession de l'abbaye sans avoir été légitimement élue par les moines.
La date du transfert des reliques de saint Sacerdos à Sarlat est inconnue comme l'écrit Jean Tarde dans sa Chronique, en 1624. Pour certains le transfert des reliques à Sarlat aurait été provoqué par les attaques des vikings à partir de 8487. Pour d'autres, les reliques de saint Sacerdos situées à Calabrum ont été translatées au monastère de Sarlat peu avant qu'Hubert, avec l'aide du comte de Périgord Guillaume II Talleyrand ou Taillefer, fils de Bernard de Périgord8, s'empare du monastère, vers 962. C'est au moment de cette translation que l'église de Sarlat s'est appelée église de Saint-Sauveur et de Saint-Sacerdos. Cette translation a dû se produire entre 945 et 962. La translation du corps de saint Pardoux dans l'église de Sarlat s'est effectuée après celle de saint Sacerdos. Le culte de saint Pardoux étant devenu à la mode, les moines ont décidé de placer ses reliques dans l'église Saint-Jean située hors les murs du monastère. Cette translation montre qu'il existait alors près du monastère une agglomération suffisamment nombreuse pour justifier la construction d'une église. Dans les premières années du xie siècle, les reliques de saint Pardoux sont enlevées de l'église par un moine de Sarlat pour être données à un seigneur du Limousin, Gui de Lastours, et déposées dans l'église d'Arnac9.
D'après Jean Maubourguet, le culte de saint Sacerdos a pris la place de celui du Salvator en 1122. Il suppose que la charte liant l'abbaye à Odon de Cluny et le culte de saint Sacerdos avaient pour but d'éviter l'annexion de l'abbaye par Saint-Martial de Limoges et lui conserver son indépendance.
Saint Bernard est passé à Sarlat en 1147 où il aurait accompli le miracle des pains.
Elle a su demeurer indépendante et s'est placée en 1153 sous la protection directe du Saint-Siège à Rome. Les possessions de l'abbaye sont confirmées en 1153 et 1170 par les papes Eugène III et Alexandre III. Elle est reconstruite à l'époque romane entre 1125 et 1160. De l'abbaye .
Je vous invite à venir manger "AU PETIT BORIE"
Très accueillant et surtout très bonne table ont vous le recommande !
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Fête de la fraise à Vergt
Fêtes de la fraise le 9 juin 2019
La traditionnelle fête de la fraise de Vergt, en Dordogne, a fait son grand retour, deux ans après la dernière édition. Avec toujours au menu : des fraises, une tarte aux fraises géante, le défilé des confréries et le marché fermier.
N'oublions pas nos chers pompiers !
Après l'édition 2018 qui avait été annulée faute de bénévoles, la traditionnelle fête vernoise a donc pris un nouveau départ. Le principe reste le même : marché fermier, marché aux fleurs, producteurs de fraises, vide grenier et poule farcie. Mais aussi comme toujours, défilé des confréries du Périgord, intronisations, messe, et tarte aux fraises géante.
Le Gouffre de Proumeyssac
Déjà célèbre au XVIIIe siècle pour ses terrifiantes légendes, le Gouffre de Proumeyssac ne fut exploré qu’en 1907.
Bâptisé « Cathédrale de cristal », Proumeyssac est aujourd’hui la plus grande cavité aménagée du Périgord.
Par un tunnel, on accède facilement à cette immense voûte souterraine aux parois ornées d’une multitude de cristallisations d’une densité et d’une beauté exceptionnelles. La nouvelle mise en lumière, soutenue par un accompagnement musical complète l’originalité de ce site.
La visite de 45 mn, commentée par des guides expérimentés, laisse un souvenir impérissable.
Lien
http://www.gouffre-proumeyssac.com/le-gouffre/
Avis de notre visite : Une visite époustouflante ! Allez le visiter avec ces jeux de lumières c'est extraordinaire, vous en ressortiraient avec un magnifique souvenir .
Fêtes de la St Louis "Le Bugue"
Au confluent du ruisseau de Ladouch et de la Vézère, Le Bugue fut habité dès la préhistoire. En 964, une abbaye bénédictine y fut fondée sous le nom de Saint-Marcel-et-Saint-Salvador (elle a totalement disparu à la fin du xixe siècle). Le Bugue connut une période de prospérité jusqu'en 1154, date à laquelle le Périgord devint province anglaise : étant souvent ville frontière entre les troupes anglaises et celles du roi de France, la communauté souffrit de sa position. L'une des dates les plus importantes de l'histoire du Bugue reste celle de novembre 1319 quand le roi de France, Philippe le Long, ordonna par acte scellé que le marché soit tenu perpétuellement le mardi, acte toujours en vigueur au xxie siècle. Une légende veut que Saint Louis y aurait fait une halte sur le chemin des croisades et il aurait attaché son cheval près du ruisseau de Ladouch, ce qui donne le nom à la « place du Pré-Saint-Louis » et fixe ainsi la date de la foire aux bestiaux, devenue fête votive depuis les années 2000.
Cité commerciale tranquille jusqu'à la Révolution - en dépit de quelques luttes fratricides entre les seigneurs de Limeuil et de Fleurac -, Le Bugue doit une partie de sa renommée au physicien Jean Rey qui découvrit les lois de la conservation de la masse 200 ans avant Lavoisier et inventa le thermoscope, ancêtre de notre thermomètre moderne. La fin du xixe siècle fut marquée par la construction du pont et l'arrivée du chemin de fer (ligne de Périgueux à Agen).
En septembre 1939, les habitants de la commune alsacienne de Marckolsheim ont trouvé refuge au Bugue et dans les communes voisines.
La Fauconnerie du Château des Milandes
Famille de Caumont
Le château des Milandes est bâti en 1489 et constitue alors la demeure principale des seigneurs de Caumont qui possèdent aussi le château de Castelnaud.
Le bâtiment est transformé par François de Caumont pour son épouse qui souhaite habiter un lieu moins austère et plus lumineux. Des fenêtres à meneaux couvertes de vitraux sont percées mais les tourelles, les escaliers à vis et les gargouilles, éléments architecturaux du Moyen Âge, sont conservés.
Jacques Nompar de Caumont, serviteur du roi Henri IV1, séjourna au château de nombreuses fois.
Abandon et rachat
La Révolution française entraîne l'abandon du château qui est vendu au xixe siècle.
Après un incendie dû au manque d'entretien, en 1900 Charles-Auguste Delbret-Claverie, industriel ayant fait fortune avec les corsets orthopédiques (qui employa 500 ouvriers), le rachète et commence à le restaurer.
Sous la direction de l'architecte en chef des Monuments historiques Henri Lafillée (1859-1947), de nouveaux éléments de style néo-gothique et néo-Renaissance sont ajoutés, comme des tours, des logis, des balcons, des balustrades agrémentées desculptures allégoriques, et un jardin à la française est créé en 1908 par Jules Vacherot 2. L'ensemble est complété par un chaiet une ferme.
Après sa mort en 1914, sa veuve vend le château à un particulier; suite à une erreur du service du Cadastre, la chapelle du XVème siècle, qui devint temple du fait de ses seigneurs convertis au protestantisme (exercice dit "de fief"), et où en 1947 se maria - pour la quatrième fois - la nouvelle propriétaire Joséphine Baker avec le chef d'orchestre Jo Bouillon, est exclue du domaine et classée bien vacant et sans maître par l'administration fiscale après avoir été indûment attribuée à la commune; ce n'est qu'en 2018-2019 qu'elle a réintégré le domaine du château dont elle est une dépendance depuis son édification
Joséphine Baker
Le château constitue la résidence de la chanteuse et meneuse de revue Joséphine Baker, qui le loue à partir de 1937 et l'achète, dix ans plus tard, avec son nouveau mari Jo Bouillon3.
C'est à cette époque que sont installés l'eau courante, l'électricité et un système de chauffage central. Elle y développera un complexe touristique avant-gardiste, baptisé « Village du Monde », et y vivra avec ses douze enfants adoptés de neuf nationalités différentes qu'elle surnomme sa « tribu arc-en-ciel »4.
Un épisode évoquant sa présence est raconté dans le roman de Johannes Mario Simmel On n’a pas toujours du caviar (1963).
En 1964, à la suite de problèmes financiers, la mise en vente aux enchères du château est annoncée. Malgré un répit grâce à l'intervention de Brigitte Bardot, qui lance un appel aux Français, et le refus par Joséphine Baker de l'offre pourtant apparemment avantageuse de Gilbert Trigano qui reprenait l'exploitation du complexe touristique en lui laissant l'usufruit du château, il est finalement vendu pour un cinquième de sa valeur en 1968.
Faisant jouer la loi française elle obtient un sursis qui lui permet de rester sur place jusqu'au 15 mars 1969. Cependant, alors qu'elle est en tournée, elle apprend que le nouveau propriétaire a investi les lieux. Elle s'y oppose et investit seule la cuisine dans laquelle elle se barricade, ses enfants étant confiés à sa sœur et placés dans des établissements scolaires parisiens.
Profitant d'une de ses sorties de la pièce pour aller chercher de l'eau, les ouvriers ou employés du nouveau propriétaire, qui ont pour consigne de lui faire quitter le château, referment la porte derrière elle. Elle passe sur les marches du perron et doit être transportée à l'hôpital le lendemain; cet événement tourne en sa faveur, qui obtient finalement une autorisation judiciaire de réintégration dans la cuisine.
L'« après » Joséphine Baker
Depuis Joséphine Baker, quatre familles se sont succédé au château.
Les terrasses, façades et toitures du château sont inscrites au titre des monuments historiques le 29 août 19865. Depuis 2001, le château accueille une exposition sur Joséphine Baker et des travaux de restauration sont effectués.
Le 7 décembre 2009, le château, son chai, son jardin à la française et les anciennes écuries sont inscrits en totalité au titre des monuments historiques6. Chaque année, des spectacles de rapaces sont présentés de juillet à la mi-octobre7.
En 2001, Henry et Claude de Labarre, qui avaient une maison sur la rive opposée de la Dordogne, en face du château, l'achètent et en commencent la restauration, avant d'en confier la gestion en 2006 à leur fille, Angélique de Saint-Exupéry).
En 2013 est apposé, sur l’entrée du château le label Maisons des Illustres créé en 2010 par le ministère de la Culture et de la Communication dont l'objectif est de faire connaître des lieux ouverts au public, anciennes demeures de personnalités qui ont influencé l’Histoire.
C’est le troisième site de la Dordogne, après le château de Montaigne, à Saint-Michel-de-Montaigne, et celui de Hautefort.
LA FAUCONNERIE
Notre avis sur notre visite,.......... Nous aurions aimez voir un peu plus du Château ça c'est le négatif de la visite, les jardins sont très beaux, honnêtement, nous avons craqué litteralement sur la Fauconnerie avec des explications claire et net.
ont vous invitent à allez le visitez !